
Bonne nouvelle !
Pour la quatrième année consécutive, le pass Sport revient pour aider les jeunes de 6 à 30 ans à s’inscrire dans un club, une association sportive ou une salle de sport et les inciter à la pratique sportive.
Dès le 1er juin 2025, les bénéficiaires du dispositif pourront d’ores et déjà activer et utiliser leur pass pour bénéficier de 50 € d’économies sur leur inscription à une large offre d’activités sportives.
Cette année, aucune démarche d’inscription n’est à effectuer pour bénéficier du pass Sport. Les jeunes éligibles à cette aide recevront directement leur QR code le 30 mai, et le 30 août 2025 pour les étudiants boursiers, par e-mail et/ou SMS.
À partir du 1er septembre, tous les clubs pourront, d’un simple scan d’un QR code, téléverser et valider en 3 clics le pass Sport d’un jeune.
Le pass Sport 2025 s’adresse aux jeunes qui sont :

La Ligue regroupe tous les licenciés fédéraux des Pays de la Loire en hockey sur Gazon et en Salle.
Son but :
Discipline Olympique, le hockey est un sport d’équipe accessible à toutes et tous.
Ses valeurs principales sont :
Deux périodes composent la saison : de mars à novembre, en extérieur, par équipes de 11, et de décembre à février, en salle, par équipes de 6.
Sport complet, **ses atouts essentiels **sont :
Les enseignants et les enfants l’apprécient pour ses aspects ludiques et ses possibilités multiples de jeux.
Les principes de base sont simples : pénétrer dans la zone de but adverse, par des actions individuelles ou collectives afin de marquer des buts. C’est un sport sans danger où le contact physique n’est pas autorisé.
QUELQUES CHIFFRES :


aide-parcours-des-formations-arbitre.pdf (639 KB)
regles-salle-precisions-2015.pdf (429 KB)
salle-crja-pays-de-la-loire-2015.pdf (386 KB)
Laurent FERMAUT, président du Racing Club de France Hockey
** Pourquoi les équipes jeunes sont-elles importantes pour le RCF Hockey ?**
« Nous avons une école de hockey très performante depuis quelques années. Nos équipes U12 garçons et filles, U14 garçons, U16 et U19 filles sont leaders de leurs championnats gazon à mi-saison. C’est une fierté pour nous de voir nos jeunes performer et c’est la preuve que la formation de nos jeunes fonctionne très bien. Cela s’explique surtout par le fait que les entraîneurs de nos jeunes sont les joueurs de notre équipe seniors élite. Ils savent donc transmettre leur expertise et les valeurs de ce sport aux jeunes. Je pense que c’est une excellente méthode et les résultats nous donnent raison. Si tous les clubs arrivaient à associer les ressources de leur équipe fanion, sans qu’elle soit forcément au plus haut niveau possible, à leurs équipes jeunes, cela serait sûrement bénéfique pour eux. »
Quel est votre avis sur les tournois se déroulant ailleurs que dans le nord ou en région parisienne ?
« J’y suis très favorable, surtout dans des salles aussi belles que celle-là ! (cf : Salle de la Mainguais – Carquefou). On en a rarement vu de telle ; parfois on est au bord du terrain, assis par terre parce qu’il n’y a même pas de tribunes. Par ailleurs, il faut essayer de varier les endroits le plus possible pour que l’on continu à voir du pays, même si le budget de déplacement n’est pas négligeable du tout. En début de saison, on ne sait pas quelles équipes iront en Tournoi Finale. Les déplacements en Tournois Qualificatifs sont aussi coûteux donc on provisionne une partie, mais la plupart du temps, ce sont les parents qui comblent la différence. Ils sont très nombreux à s’investir dans les équipes et leur présence est essentielle pour nous comme pour les enfants. Et puis pour ces derniers, ces voyages sont sources de souvenirs marquants. »
Adrien COFFIGNIEZ, 22 ans, coach de l’équipe U14 garçons du RCF et joueur de l’équipe de France A (5 sélections)
Qu’est-ce que cela t’apporte d’entraîner des jeunes de ton club ?
« Cela me plaît énormément de partager ma passion avec eux. D’une certaine manière, j’essaie de rendre ce que l’on m’a donné car lorsque j’étais dans ces catégories d’équipes jeunes, il y avait déjà des joueurs qui venaient nous coacher. Finalement, c’est presque logique pour moi d’apporter aux jeunes du club autant que possible. C’est aussi très agréable de connaître des week-ends comme celui-là ; on ne retrouve pas la même ambiance sur le gazon. On est avec les familles et les membres du club donc l’atmosphère est vraiment agréable à vivre pour moi et pour les joueurs surtout. »
Cela te fait revivre l’époque où tu étais à leur place ?
« C’était il n’y a pas si longtemps que ça quand même ! Mais ayant fait les mêmes tournois qu’eux, j’espère qu’ils prennent autant de plaisir que moi lorsque j’étais à leur place. En tout cas, j’essaie au maximum de les faire progresser tout en les laissant vivre pleinement
leur passion. Pour eux cela procure des souvenirs collectifs vraiment sympa à partager. »
Et que penses-tu de ce type de déplacement dans des régions peu habituelles ?
« C’est vrai que c’est intéressant pour les jeunes de voir d’autres régions, notamment avec les 2 ans de Covid qui ont limité nos déplacements. En plus chez les jeunes leurs matchs sont souvent au niveau régional donc cela fait du bien de rencontrer de nouvelles équipes du reste de la France. Jouer contre d’autres clubs et d’autres joueurs, cela leur permet de grandir car ils découvrent ce qu’il se fait ailleurs que dans notre région. Et de manière générale, c’est important pour le développement du hockey en France que tout ne soit pas concentré sur Paris et la région de Lille. »
Il est encore jeune et pourtant Théo CALLY est déjà intégré dans le panorama du hockey en Loire-Atlantique, grâce à son implication au sein du Carquefou Hockey Club depuis 3 ans. Devenu responsable sportif du club cette année, il coache la majeure partie des effectifs rouges et noirs, en plus d’intervenir dans des écoles et d’organiser certains événements locaux. Un couteau-suisse passionné de hockey depuis toujours, qui a troqué sa crosse de joueur pour son tableau d’entraîneur, sa véritable vocation.
Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton lien avec le hockey sur gazon ?
Je m’appelle Théo CALLY, j’ai 26 ans et je suis originaire de Caen. A partir de mes 10 ans j’ai joué au club de hockey de la ville où j’ai également commencé à aider les éducateurs entraîneurs dès mes 14 ans. Je me suis rapidement formé avec des diplômes fédéraux afin de continuer plus tard dans cette voie là qui m’a tout de suite passionnée.
J’ai donc réalisé une formation STAPS en double cursus avec entraînement sportif puis j’ai passé un DEJEPS (Diplôme d’Etat de la Jeunesse, de l’Education Populaire et du Sport). J’ai quitté mes terres normandes pour arriver au Carquefou Hockey Club il y a 3 ans où j’ai continué ma formation avec un DES (Diplôme D’Etat Supérieur).
Cette année, je suis passé responsable sportif du club. Notre fonctionnement a été bouleversé avec le départ de Julien DANJOU l’été dernier, mais le soutien du Comité Départemental a été déterminant pour maintenir nos activités, avec l’apport d’éducateurs pour me suppléer.
Quel bilan dresses-tu de ces dernières années pour le hockey ?
En termes de résultats sportifs, la saison est assez satisfaisante. Nous terminons 3-4ème avec les Namnètes en N1 gazon. Nos seniors filles sont montées en élite en championnat salle, tandis que les U19 ont remporté une médaille de bronze. Les Namnètes juniors (U16 filles) sont vice-championnes de France et enfin nos U14 garçons ont décroché la médaille de bronze en salle à domicile. Il reste encore le TNC avec les U12 (25 et 26 juin 2022) donc peut être qu’une dernière bonne nouvelle arrivera ! C’est une année compliquée pour les seniors hommes mais l’équipe a tenu et nous avons créé, avec l’aide de thomas ICRE, un très beau collectif. Je suis sûr que cela est de bon augure pour les prochaines années et le lancement d’un nouveau projet.
D’autre part, nous avons maintenu le contact avec les écoles, notamment par la réalisation d’un grand tournoi des écoles il y a quelques semaines, qui s’est très bien déroulé. Notre nombre de licenciés a augmenté, on approche des 240. Et par-dessus tout, nous avons augmenté notre taux de féminisation, qui est l’un des objectifs prioritaires du club.
Qu’est-ce qui te plaît le plus parmi toutes tes expériences ?
Je privilégie surtout le rapport à l’éducation. Le sport est, à mes yeux, un moyen de transmettre et d’appendre des valeurs aux enfants et aux jeunes. Que cela soit par le loisir avec les petits ou la compétition avec les plus grands, et même quand je suis avec les « babys », la pédagogie dont je fais preuve à travers le hockey est un moteur puissant pour me motiver.
Pourquoi faut-il choisir le hockey sur gazon comme activité sportive ?
Tout d’abord, c’est un sport d’équipe qui véhicule des valeurs de fair-play, de camaraderie et d’esprit d’équipe. C’est un sport collectif pratiqué dans le monde entier par des hommes comme des femmes, ce qui n’est pas toujours le cas. De plus, c’est une discipline avec une éthique, un côté très familial et convivial mais aussi très respectueux et proche des joueurs et joueuses. C’est un ressenti que j’ai et que beaucoup de personnes partagent je pense.
Au-delà de ça, c’est un sport qui est beau à voir, amusant à faire, et physiquement exigeant et complet. Le fait d’être un sport « à risque » avec la crosse et les balles, nous oblige à avoir une maitrise technique et un contrôle de soi nous permettant de comprendre l’état d’esprit de respect existant entre tout le monde.
Que peut-on te souhaiter pour l’année prochaine ?
Au niveau du club, j’espère que nous allons continuer à augmenter notre taux de féminisation, avoir des équipes jeunes qui performent et qui vivent de beaux moments ensemble. Il faut qu’ils créent du lien, qu’ils s’éclatent entre eux et qu’ils apprennent des leçons qui leur serviront plus tard.
Et plus globalement, je vais continuer à faire découvrir le hockey au plus grand nombre, à Carquefou et autour, en essayant qu’un maximum d’enfants et de jeunes rejoignent le CHC.
Depuis plus de 20 ans, Arnaud JUDIC œuvre pour le hockey sur gazon en Loire-Atlantique. Passionné par ce sport, il a connu tous les rôles au sein du Hockey Club de Nantes et du Comité Départemental 44. Devenu un couteau suisse au fil des années, il souhaite continuer à développer le hockey sur le territoire et préserver les valeurs humaines dans le sport qu’il priorise par-dessus-tout.
Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton lien avec le hockey sur gazon ?
Je m’appelle Arnaud JUDIC, j’ai 45 ans et j’ai vécu toute ma vie avec le hockey sur gazon. J’ai commencé à jouer à l’âge de 6 ans et jusqu’à mes 30 ans. Je suis arrivé à Nantes en 1999 pour jouer au HCN. Dès 2000, j’ai été embauché par Jacques DAVID au Comité de Loire-Atlantique en tant qu’éducateur sportif. Je travaille donc au développement du hockey avec Sullivan LEFEUVRE depuis un bon moment.
En 2006, je me suis donc tourné vers le poste d’entraîneur. J’ai fait toutes les catégories d’âges à Nantes, de U12 à seniors, des filles comme des garçons. Je pense avoir réussi à remporter au moins un titre dans chaque catégorie à peu près. Des titres de champion de France avec Nantes, comme de champion de France avec le département par exemple. L’une de mes plus belles fiertés est la montée en Elite Dames en 2010 avec les seniors filles de Nantes.
J’ai également entraîné les U18 filles de l’Equipe de France plusieurs années. Ce fût l’occasion de disputer 6 Coupes d’Europe, ce qui constitue des expériences sportives et humaines incroyables.
Aujourd’hui je suis davantage dans le développement du hockey en amont, auprès des écoles et dans la structuration du Comité.
Quel bilan dresses-tu de ces dernières années pour le hockey ?
Je retiens que nous avons obtenu plusieurs titres de champion de France, ce qui est l’objectif sportif majeur. Mais je retiens surtout l’évolution du hockey chez nous, avec la création de plusieurs clubs. Aujourd’hui nous en comptons 7, dont la structure semble pérenne, c’est ça le plus important.
Le hockey s’est étendu sur tout le département mais cela doit continuer, il nous reste encore une marge énorme pour s’installer durablement. Cela prendra du temps mais nous sommes sur la bonne voie. Par-dessus tout, je pense que nous devons continuer à construire des projets humains, en terme de ressources. C’est en professionnalisant le Comité et son encadrement que nous pourrons développer efficacement notre sport.
Qu’est-ce qui te plaît le plus parmi toutes tes expériences ?
Sans aucun doute, le facteur humain, les relations humaines. Elles sont variées selon les différents rôles que j’ai eus, mais cela reste pour moi la priorité quotidienne. Je fais toujours de nouvelles rencontres enrichissantes et dans ce genre de métier nous sommes constamment en interaction, en échange avec les autres et j’aime cela.
Bien entendu, je suis un compétiteur et j’accorde une place importante à la compétition et la performance dans le sport. Mais aujourd’hui, quand je me rends compte que je garde encore des liens avec des joueuses et des joueurs que j’ai entraînés il y a plus de 10, cela conforte mon opinion. La compétition forge un groupe et une équipe certes, mais les liens humains et amicaux sont plus solides et durables, et c’est ça que je retiens le plus après toutes ces années.
Pourquoi faut-il choisir le hockey sur gazon comme activité sportive ?
C’est un sport très particulier sur un point : on l’adopte dès qu’on l’essaie. Nous avons très régulièrement, de la part des jeunes mais aussi des parents ou de nos partenaires, ce retour sur le hockey. C’est un sport que l’on ne connaît pas à première vue, mais quand on s’y familiarise, on adore tout de suite.
L’aspect physique est moins déterminant que dans d’autres sports donc les filles comme les garçons y trouvent leur compte, et plus généralement, tout le monde peut y trouver son compte.
Que peut-on te souhaiter pour l’année prochaine ?
J’espère tout simplement que la Loire-Atlantique comptera plus de licenciés l’année prochaine. Cela signifiera que nous continuons notre marche en avant. Puis l’étape suivante et créer encore de nouveaux clubs, même si cela ne sera peut-être pas dès la rentrée prochaine. Cette multiplication de structures autonomes et pérennes est le socle nécessaire au développement du hockey et je suis impatient de voir nos avancées futures.
Interview Frank Nativelle – AMP de l’IEM
Est-ce que vous pouvez vous présenter ainsi que votre structure ?
Je m’appelle Frank Nativelle et je suis AMP (Aide Médico-Psychologique) à l’IEM de la Marrière, situé au rond-point de Paris. Cet Institut d’Education Motrice accueillent des enfants et des jeunes avec des handicaps moteurs et des troubles associés. Plus particulièrement, nous sommes le groupe multisports du mercredi matin. Notre objectif est de faire découvrir le plus de sports possibles à ces jeunes afin qu’ils puissent ensuite les pratiquer en handisport, dans leur vie personnelle. Ils ont entre 10 ans à 16 ans cette année et regroupent donc différentes formes de handicaps. Pour l’encadrement, je suis accompagné de Nathalie, autre AMP de l’IEM, d’Isabelle, une kinésithérapeute et Adèle, une éducatrice sportive adaptée mise à disposition par le comité départemental handisport.
Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement de votre IEM ?
Ils ont des cours et d’autres activités comme dans les autres écoles. Cependant, c’est un institut avec une équipe pluridisciplinaire adaptée aux différents besoins des élèves ; on retrouve des éducateurs, des AMP, des kinésithérapeutes, des orthophonistes, des psychologues … Leur emploi du temps comprend des rendez-vous avec ce genre de spécialiste, ce qui leur permet d’avoir du temps libre en dehors de leur semaine à l’IEM. Chacun a donc un emploi du temps personnalisé selon ses besoins et ses capacités.
Comment avez-vous découvert la pratique du hockey sur gazon ?
Paul (Le Bescond) nous a contacté il y a 2 ans maintenant pour nous proposer une initiation au hockey. Nous sommes toujours partants pour découvrir et faire découvrir à nos jeunes surtout, un nouveau sport dès que possible. Cela s’est très bien passé avec Paul, il a tout fait pour adapter au mieux nos jeunes, c’était vraiment parfait. L’élan a été freiné l’année dernière à cause du COVID, mais nous avons souhaité recommencer dès que possible puisque cela se passe toujours très bien et que les enfants sont heureux. Nous sommes donc à 5 ou 6 séances d’effectuées avec Paul pour le moment.
Le hockey présente-t-il un attrait supplémentaire par rapport à d’autres sports ?
Avec les handicaps présents, il y a un intérêt particulier pour l’aspect de la motricité qu’Isabelle notre kiné travaille avec les jeunes. Ils travaillent le mouvement des bras et même tout le haut du corps ; ils doivent aussi gérer la crosse et se déplacer avec. Pour nous c’était vraiment l’occasion de découvrir un sport atypique. Surtout que nous n’aurions jamais cru pouvoir faire ça en handisport à l’époque. On a fait découvrir cette pratique au Comité de Handisport qui ne connaissait pas et maintenant ils commencent à interagir avec Paul pour mener des projets futurs.
Est-ce que d’autres projets sont en préparation avec le hockey ?
Nos jeunes sont majoritairement porteurs de handicap de moins en moins autonomes. Mais enclencher ces initiations leur a permis de découvrir un sport, mais aussi à Paul de s’ouvrir de nouvelles portes pour développer l’handisport, notamment avec l’IEM de la Grillonnais, qui est l’établissement suivant dans le parcours scolaire de nos jeunes. C’est comme un centre de formation professionnelle qui permet à des jeunes performants en handisport de développer leurs capacités. Les jeunes qui y sont formés présentent donc des handicaps plus légers en règle générale et sont davantage autonomes au niveau physique et psychique. Ils seront plus aptes à jouer durablement au hockey potentiellement. L’ambition finale serait de monter une équipe handisport de hockey sur gazon avec l’IEM de la Grillonais et je pense que cela est possible avec le potentiel présent chez nos jeunes.
Par rapport à Paris 2024, quels sont les ambitions de l’IEM et de l’handisport ?
On voit bien qu’il y a des jeunes avec du potentiel. Je pense que 2024 sera un peu court en termes de temps, pour eux et pour le développement d’un sport nouveau dans ce domaine. Nous tâchons de former nos jeunes en vue de ces échéances inédites. Certains de nos jeunes présents aujourd’hui ont été repérés par les responsables des équipes handisport, notamment en natation, athlétisme, football et ping-pong. Cela leur permet de suivre des stages adaptés et intensifs ensuite, c’est une belle expérience pour eux. L’idée est de les rendre plus performants dans leur sport de prédilection, mais également de leur permettre de s’épanouir à travers leur pratique sportive.
Une des figures du hockey nantais. Depuis plus de 20 ans, Sullivan Lefeuvre s’investit dans le développement du hockey sur gazon dans la région nantaise. Passant par de nombreux rôles et postes au sein de différentes structures, il est notamment à l’initiative du célèbre Tournoi des Ecoles organisé chaque année à l’hippodrome du Petit Port. Un peu plus en recul du terrain aujourd’hui, découvrez un aperçu de son parcours atypique dans le paysage du hockey nantais.
Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton lien avec le hockey sur gazon ?
Je m’appelle Sullivan Lefeuvre, je suis aujourd’hui le directeur sportif du Hockey Club de Nantes. Je suis arrivé dans le hockey en mars 1998 pour développer le hockey sur l’ensemble de la Loire-Atlantique, puis je me suis tourné en particulier vers le HCN par la suite.
J’ai participé à la création de la section sportive de hockey pour les collégiens au sein de l’école de la Perverie il y a plus de 20 ans, tout comme la création du Tournoi des Ecoles qui a lieu tous les ans à l’hippodrome du Petit Port, même si cela fait deux ans que nous en sommes privés à cause de la pandémie.
Pendant un temps je me suis concentré sur la partie de coach, avec l’équipe première de Nantes mais aussi l’équipe de France U18. Puis en 2015, je me suis davantage orienté sur les équipes de jeunes et le club entreprise du HCN, créé il y a un peu plus de 10 ans et qui compte aujourd’hui entre 60 et 70 entreprises partenaires.
Enfin, je suis président de la Ligue des Pays de la Loire depuis janvier 2021, pour un mandant de 4 ans.
Quel bilan dresses-tu de ces dernières années pour le hockey ?
Nous sommes sur une pente ascendante où malgré la pandémie nous avons réussi à conserver nos adhérents. Nous sommes parvenus à maintenir un équilibre financier dans les clubs, il faut maintenant continuer à les développer. Ces deux années de pandémie ont été éprouvantes mais je suis satisfait de voir la belle évolution du hockey sur les dernières années. Les J.O sont maintenant en ligne de mire, c’est une superbe opportunité qui va nous servir d’élan pour construire l’avenir du hockey sur notre territoire.
Qu’est-ce qui te plaît le plus parmi toutes tes expériences ?
Sincèrement, je ne peux pas choisir un poste en particulier. J’ai apprécié tous mes rôles qui s’étendent sur plusieurs années donc je changeais de missions au fil des années. Au début je me plaisais à enseigner le hockey dans les écoles, puis la compétition a pris le dessus et j’ai longtemps été sur le banc pour coacher. Nos ambitions évoluent avec le temps, et aujourd’hui j’ai toujours plaisir à entraîner les jeunes durant la semaine, puis les diriger le week-end lors des matchs. Mon passage à la tête de l’équipe première était particulièrement enrichissant, mais la compétition avec les jeunes est aussi très attrayante.
Pourquoi faut-il choisir le hockey sur gazon comme activité sportive ?
C’est un sport ludique, dans lequel un état d’esprit sportif et respectueux règne, ce qui le rend très agréable à vivre. C’est aussi un sport collectif, qui ressemble beaucoup au football, mais aussi aux autres sports de raquette comme le tennis et le golf. C’est un sport qu’au début personne ne connaît, mais dès que les gens le découvrent, ils adorent. Il y a une vraie notion de pédagogie, puisqu’il faut apprendre aux enfants à maîtriser la crosse qui peut vite être dangereuse. Il faut leur apprendre leur droite et leur gauche, le côté plat et rond, donc il a une force de pédagogie assez unique.
Que peut-on te souhaiter pour cette année ?
J’espère que l’équipe première de Nantes va réussir à accrocher la montée, même si elle n’a plus son destin entre les mains. Il reste assez de matchs pour remonter au classement et atteindre cet objectif majeur pour tout le club. J’aimerais aussi réussir à obtenir au moins une place sur un podium avec les équipes jeunes sur la saison gazon. Nous avons des générations très prometteuses, cela serait une belle récompense pour eux.
L’apprentissage par l’amusement… Damien COLLEAU est adoré par les enfants qu’il côtoie au sein des écoles, des clubs ou même des stages multisports qu’il dirige parfois. Sa joie de vivre et son « feeling » avec les petits sont appréciés par tous. Depuis plusieurs années, il s’investit dans le développement du hockey sur gazon au sein de l’agglomération nantaise, par sa mise en valeur dans les écoles et sur les terrains.
Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton lien avec le hockey sur gazon ?
Je m’appelle Damien Colleau, j’ai 46 ans et je suis donc éducateur sportif diplômé d’état pour le Comité Départemental 44 de Hockey sur Gazon. Aujourd’hui je suis dans ma 15ème année au sein de la structure. Je suis arrivé ici tout simplement par le biais d’une annonce sur «profession sport». Jacques (président du CD) m’a apporté les connaissances nécessaires sur le hockey puisque je n’en avais aucune en arrivant. La plupart d’entre nous sommes des footballeurs reconvertis, mis à part Arnaud (responsable des éducateurs) notamment qui est un vrai hockeyeur.
Quel poste occupes-tu ? Quel bilan dresses-tu de ces années ?
Mon poste d’éducateur sportif est vaste puisque depuis toutes ces années j’ai enseigné le hockey de différentes manières. Aujourd’hui c’est un travail à temps partiel mais cela occupe la plupart de mon temps. J’aime toujours autant passer du temps avec les enfants, c’est ma principale motivation, donc depuis quelques années je me centre sur les écoles. Auparavant, j’étais dans les clubs mais au fil du temps je n’avais plus cette envie de développer ces structures mais plutôt d’en créer avec les antennes. Je retiens beaucoup de positif de ces années au Comité : la structure est agréable à vivre, je travaille dans un environnement sain et les écoles sont accueillantes avec moi depuis tout ce temps.
Qu’est-ce qui te plaît le plus parmi toutes tes expériences ?
J’ai connu beaucoup de choses, mais le contact avec les enfants reste ce que je préfère dans mon travail. Le cadre sportif est également important pour moi, mais ce quotidien avec les enfants me permet de ne pas rester dans une routine. Je change constamment d’établissements donc mes journées et mes semaines sont très dynamiques, et cela me motive chaque jour.
Pourquoi faut-il choisir le hockey sur gazon comme activité sportive ?
C’est un sport très agréable à vivre et à pratiquer. La mixité est ancrée dans cette discipline, tout comme le fait qu’il est jouable en salle comme sur gazon. Cette alternance dans la saison est intéressante pour le dynamisme du sport. Les enfants qui pratiquent du hockey sont très vite passionnés et j’espère que ce sport va continuer à se développer pour qu’ils profitent davantage.
Que peut-on te souhaiter pour cette année ?
J’espère que je vais accueillir de nouvelles recrues dans les antennes de Saint-Sébastien que j’ai aidé à créer. Ce qui serait vraiment bénéfique pour le hockey en Loire-Atlantique, ce sont les infrastructures. Si nous avions plus de terrains, de locaux et même parfois de matériel, nous pourrions réellement faire découvrir le hockey aux enfants à travers les clubs et les écoles.
Suite des mini-interviews exploratoires qui vous présentent tout à tour l’un des poumons du CD 44, les éducateurs.
Cette fois-ci, vous allez découvrir Paul LE BESCOND, éducateur et entraîneur du Comité Départemental 44 depuis bientôt 10 ans.
Interview de Paul LE BESCOND
C’est l’un des piliers du hockey sur gazon en Loire Atlantique. A travers son rôle d’éducateur dans les écoles, d’entraîneur à Sautron et pour des équipes départementales ou régionales, Paul s’investit pleinement dans le développement de la pratique du hockey depuis plusieurs années désormais.
Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton lien avec le hockey sur gazon ?
Je m’appelle Paul Le BESCOND, j’ai 35 ans et je travaille au Comité Départemental 44 depuis août 2013. Titulaire d’un master Staps, j’ai eu connaissance du besoin du comité d’avoir un nouvel éducateur. Je n’avais alors aucune connaissance de ce sport, mais Sullivan et Arnaud m’ont formé et étant issu du football, sport similaire malgré tout, j’ai rapidement pris mes marques.
J’ai aussi été licencié au Hockey Club de Nantes afin de développer mes connaissances autour du hockey ; cela m’apparaissait essentiel pour transmettre par la suite aux enfants les enseignements de cette pratique sportive.
Quel poste occupes-tu ? Quel bilan dresses-tu de ces années ?
Aujourd’hui, je suis éducateur mais avec plusieurs casquettes ; je m’occupe des sélections U14 filles et U12 garçons, de l’équipe U12 de Sautron, des enfants du club des Bourgeonnières, tout en allant faire des séances dans les écoles partenaires. Auparavant, j’ai aussi coaché les seniors de Carquefou, on avait d’ailleurs fait un super parcours, puis l’équipe réserve du HCN, alors en N2. Sur cette partie de coach, je retiens surtout le titre de champion de France U12 filles il y a quelques années, une de mes plus grandes fiertés en tant qu’entraîneur.
J’entame ma 10ème année et je dresse un bilan positif de cette décennie au CD 44 et dans l’environnement du hockey. J’ai été bien formé dès le début pour ensuite développer ma propre vision de l’enseignement et du coaching. J’ai participé à la croissance du club de Sautron comme je le fais actuellement avec les Bourgeonnières et cela rend heureux de voir des clubs grandir.
Qu’est-ce qui te plaît le plus parmi toutes tes expériences ?
C’est dans la compétition que je prends le plus de plaisir. Lorsque tu te rends aux championnats de France, cela nécessite une préparation sur toute l’année donc c’est un challenge attrayant sur lequel je suis motivé tous les ans. L’enjeu est alors de transmettre cette énergie et cette motivation à mes joueurs et c’est passionnant. C’est l’opportunité pour des enfants de voyager dans toute la France pour disputer des matchs attractifs, donc cela est assez captivant pour eux, comme pour moi.
Quand cela aboutit sur un titre c’est naturellement encore plus beau, même si le principal reste le plaisir pris par les enfants à jouer au hockey.
D’autre part, je n’oublie pas l’importance de mon rôle d’éducateur, dans les écoles et les stages multisports, car c’est cette partie qui fait vivre l’écosystème du hockey.
Pourquoi faut-il choisir le hockey sur gazon comme activité sportive ?
C’est un sport complet et collectif qui demande une rigueur physique et technique. Cette exigence est saine pour les enfants je pense. L’ambiance qui règne sur les terrains, lors des tournois, est agréable à vivre. Cet esprit de solidarité et d’entraide donne envie à chacun de s’investir.
Même si la discipline manque de popularité, elle permet à de nombreux enfants de vivre des aventures incroyables. Même si j’espère que de plus en plus d’enfants s’intéresseront au hockey, pour ceux qui sont déjà là, ils vivent pleinement leur activité sportive.
Que peut-on te souhaiter pour cette année ?
Par-dessus tout, que nos jeunes puissent jouer le plus possible. J’espère que les championnats de France des clubs et les compétitions territoriales soient maintenus et ramènent le plus de licenciés possibles dans les clubs du département.
Suite des mini-interviews exploratoires qui vous présentent tout à tour l’un des poumons du CD 44, les éducateurs.
Cette fois-ci, vous allez découvrir Vincent Le Mauff et Théo Sécher, éducateurs au Hockey Club de Nantes.
Footballeur dans l’âme, Vincent a troqué le ballon pour la crosse de hockey, sports qui selon lui présentent de nombreuses similitudes. Néanmoins, il s’épanouie dans le hockey, discipline à l’environnement et à la mentalité auxquels il adhère.
Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton lien avec le hockey sur gazon ?
Je m’appelle Vincent Le Mauff, j’ai 21 ans et je suis originaire d’Auray, en Bretagne. Cela fait 16 ans que je joue au foot, à un niveau de compétition acceptable. Cette année, dans le cadre de mes études, je suis arrivé au HCN en alternance, mais je n’avais aucune relation avec le milieu du hockey sur gazon auparavant.
Sullivan, le directeur sportif du club, recherchait une personne pour l’accompagner sur le Club Entreprise, mais aussi pour encadrer les plus jeunes. Ayant le BPJEPS et une certaine appétence pour les activités commerciales, le rôle me correspondait parfaitement.
Quel poste occupes-tu cette année ? Comment se sont déroulés tes premiers mois ?
J’ai donc la double casquette, éducateur au HCN pour les catégories U8-U10, et chargé de développement. Le club m’a tout de suite très bien accueilli, en particulier Sullivan avec qui je travaille. Leur accompagnement a été adapté à mon apprentissage du hockey, ce qui m’a permis de très vite m’imprégner de ce sport. Je n’ai pas vu les trois mois passer, entre les entrainements, les plateaux et les événements du Club Entreprise. Il y a toujours des missions à réaliser dans une discipline en pleine expansion, on ne s’ennuie jamais. Et c’est ce que je recherchais.
Qu’est-ce qui te plaît le plus après un mois dans ton nouveau rôle ?
En priorité, c’est l’organisation d’événements et le développement du Club Entreprise avec Sullivan. J’apprécie aussi mon rôle d’éducateur, mais je sais que cela est temporaire. Sur le long terme, je souhaite m’orienter vers la fibre commerciale, et pourquoi pas toujours dans le hockey sur gazon justement !
Pourquoi faut-il choisir le hockey sur gazon comme activité sportive ?
C’est un sport émergeant, avec des valeurs et une rigueur assez rare par rapport à d’autres sports. Elle met en avant le collectif plus que l’individualisme. Je vois rarement l’ego d’une personne dominer l’esprit d’une équipe. De plus, cela apporte de la coordination avec le haut et le bas du corps. Je pense que ce sport mériterait d’être d’avantage reconnu.
Que peut-on te souhaiter pour cette année ?
Tout d’abord je dois obtenir mon BTS NDRC ! Et tout simplement continuer à travailler avec le HCN si possible dans les prochaines années, je laisse le temps me donner des objectifs plus concrets.
Passionné de coaching et de préparation physique, Théo est aujourd’hui épanoui au sein du Hockey Club de Nantes. Sa double casquette de préparateur physique et d’éducateur auprès des enfants lui permet d’être actif et polyvalent sur plusieurs terrains.
Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton lien avec le hockey sur gazon ?
Je m’appelle Théo Sécher, j’ai 24 ans et je vis ma 4ème année au HCN. J’ai très vite apprécié l’environnement du hockey sur gazon, un sport collectif attractif dans lequel je suis en contact direct avec les joueurs et leurs performances. Aujourd’hui, je suis épanoui dans ce club, avec lequel j’ai hâte d’accompagner les générations actuelles et futures vers le plus haut niveau possible.
Quel poste occupes-tu cette année ? Comment s’est déroulée cette première partie de saison ?
Je suis donc préparateur physique pour toutes les catégories du club, tout en étant responsable des catégories U8 et U10. De plus, j’interviens en tant qu’éducateur dans certaines écoles afin de promouvoir le hockey auprès des enfants. Aux vues des circonstances, je préfère regarder le positif : on a réussi à maintenir nos entrainements, ce qui est le plus important car les jeunes ont besoin de jouer. Malheureusement, certaines compétitions ont été annulées depuis bientôt 2 ans, surtout celles en salle. C’est parfois compliqué de s’entraîner sans compétition pour motiver les joueurs, mais en leur expliquant la situation, ils comprennent tout à fait et s’adaptent.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton rôle aujourd’hui ?
La diversité de mes fonctions est réellement un gage d’épanouissement pour moi. Je travaille avec tous les âges, par l’enseignement auprès des plus jeunes, du développement des capacités avec les collégiens du sport étude, jusqu’à la préparation physique et mentale des plus âgés et des seniors. Je constate depuis quatre ans les évolutions de plusieurs générations, et il n’y a rien de plus bénéfique dans mon métier auprès des enfants et des jeunes.
Pourquoi faut-il choisir le hockey sur gazon comme activité sportive ?
C’est avant tout un sport très dynamique, pour les joueurs comme pour le public. Au-delà d’être un sport collectif, il véhicule une bonne mentalité pour l’éducation des enfants. Enfin, mon œil de préparateur physique ajoutera que la motricité nécessaire pour être performant est très intéressante à développer pour tous les âges, et cela est vraiment propre à ce sport.
Que peut-on te souhaiter pour cette année ?
J’espère avoir la possibilité de disputer les championnats de France avec les équipes de Nantes et rapporter le plus de médailles possibles la maison. On a tous besoin de retrouver les terrains et de prendre du plaisir, qui sera décuplé avec la victoire au bout bien entendu.
Interview des Thomas
Nous sommes fiers de vous présenter « La mini-interview N°1 » du CD 44. Dans chaque newsletter mensuelle, vous aurez la chance de découvrir un acteur du hockey sur gazon en Loire Atlantique à travers une mini-interview.
Thomas DU ROSTU et Thomas ICRE nouveaux éducateurs du CD 44 cette année, lancent donc les hostilités.
Originaire des terres nantaises, où il a découvert sa passion pour le hockey sur gazon, il est revenu en gardant intacte celle-ci, afin de la transmettre aux enfants des écoles où il intervient et des clubs qu’il accompagne.
Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton lien avec le hockey sur gazon ?
Je m’appelle Thomas, j’ai 25 ans et cela fait 21 ans que je joue au hockey. J’ai commencé au HCN, avant de jouer 10 ans à la Baule puis 3 ans à Carquefou. J’ai d’ailleurs passé mon BPJEPS (Brevet Professionnel de la Jeunesse et de l’Education Populaire du Sport) dans ce dernier, afin de partager mon attrait pour ce sport avec les plus jeunes. Après un passage dans le nord à Douai et trois années en Nationale 1, je suis de retour sur le territoire nantais et au HCN. La boucle est bouclée ! J’ai aussi été bénévole au club des Bourgeonnières et de La Baule lorsque j’étais jeune. Cela a renforcé mon envie de devenir éducateur de ce sport.
Quel poste occupes-tu cette année au CD 44 ? Comment se sont déroulées tes premières semaines ?
Je suis éducateur, j’interviens donc dans les écoles en partenariat avec le Comité Départemental mais aussi dans les clubs du département (La Baule, Savenay, Carquefou). Cela se déroule très bien, je suis content des missions qui me sont confiées et j’espère que cela va perdurer.
Je m’occupe de trois écoles près de la Baule. J’apprécie énormément cette activité où mon rôle consiste à apprendre et partager une passion ; là où dans les clubs, même si j’adore y être également, l’enseignement se tourne davantage vers la compétition.
Qu’est-ce qui te plaît le plus après un mois dans ton nouveau rôle ?
J’aime tout particulièrement, le projet organisé par le club de Carquefou et Théo Cally, qui s’appelle « Hockey After School ». C’est une initiative que je trouve très intéressante. Après le temps scolaire, on emmène au club des enfants des écoles à proximité afin qu’ils prennent un goûter et qu’ils enchaînent sur 1h30 de hockey. C’est une action novatrice qui favorise grandement le développement du club et du hockey. Pour ma part, cela me motive énormément en tant qu’éducateur de m’inscrire dans cette démarche de cohésion.
Pourquoi faut-il choisir le hockey sur gazon comme activité sportive ?
Le passionné de hockey que je suis te dit tout simplement que c’est le premier sport collectif apparu aux Jeux Olympiques !
Mais l’éducateur ajoute que c’est une activité ludique avec une mentalité saine et de vraies valeurs, ce qui est primordial pour les enfants. Le fair-play et la sécurité des joueurs passent avant tout. De plus ce sport attise la curiosité du public, ce qui prouve son originalité.
Que peut-on te souhaiter pour cette année ?
Tout d’abord réussir à faire croître le nombre de licenciés à La baule, c’est mon objectif premier. Mais aussi développer le club de Savenay et l’activité globale du Comité Départemental.
Et à titre personnel, de monter en Elite avec le HCN !
Passionné de sport et de coaching, Thomas a acquéri ses compétences avec diverses expériences avant de venir découvrir le hockey sur gazon. A travers son rôle au sein du Comité Départemental, il compte désormais apporter sa pierre à l’édifice afin d’aider au développement du hockey dans les années à venir.
Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton lien avec le hockey sur gazon ?
Je m’appelle Thomas, j’ai 25 ans et je baigne dans le sport depuis toujours : foot, rugby, sport de défense, voile, tennis de table, judo… J’adore découvrir de nouvelles activités !
Cela m’a orienté dans mes études puisque j’ai réalisé une licence Staps afin de rester au contact du sport dans sa globalité. Je me suis ensuite tourné vers le coaching sportif avec un an en psychologie humaine puis deux ans à Montpellier en spécialisation « préparation mentale et coaching ». j’y ai notamment travaillé avec des musiciens et des joueurs d’échecs pour les aider à gérer leur pression. Très instructif comme expérience !
De retour sur Nantes, j’ai commencé en tant qu’éducateur sportif à l’UFOLEP, une fédération de sport à but non lucratif pour, à nouveau, être actif sur plusieurs disciplines. Dans le même temps, j’étais auto-entrepreneur en tant que coach personnel en ligne.
Puis j’ai appris que Damien Colleau recherchait un nouvel éducateur pour commencer à prendre sa relève notamment à Saint-Sébastien. Ma curiosité de découvrir le hockey sur gazon a guidé mon choix et je suis donc devenu éducateur au Comité Départemental. Je suis agréablement surpris par ce sport que je trouve très physique et impressionnant au niveau technique et collectif.
Quel poste occupes-tu cette année au CD 44 ? Quelles sont tes premières impressions ?
Je suis éducateur sportif mais aussi entraineur aux clubs de Carquefou et St Sébastien.
C’est une aventure vraiment intéressante mais très prenante où j’ai tout de suite été plongé dans l’univers de ce sport sans forcément en connaitre les termes techniques et tactiques, mais aussi le règlement et le fonctionnement général qui est assez complexe parfois.
C’est un sport atypique, donc ce n’est pas toujours facile de s’acclimater mais je fais tout pour m’intégrer rapidement. Je pense que le hockey sur gazon a un potentiel très intéressant pour se développer et en plus l’équipe du Comité Départemental est impliquée dans sa tâche ce qui me motive grandement.
Qu’est ce qui te plaît le plus après un mois dans ton nouveau rôle ?
Par-dessus tout, c’est venir aux entrainements des enfants, être vraiment sur le terrain et suivre l’équipe durant les matchs. Cela va de la création d’une équipe, à son suivi et globalement son développement.
J’apprécie aussi être avec les seniors mais on observe d’avantage la progression chez les enfants, et c’est ce qui me motive le plus dans mon travail. De plus, on peut leurs inculquer des valeurs qu’ils vont garder dans leur développement personnel.
Pourquoi faut-il choisir le hockey sur gazon comme activité sportive ?
C’est un jeu collectif et original, qui permet de changer des sports traditionnels comme le foot et le rugby. Il nécessite de l’adresse, de la finesse, une bonne endurance et une rigueur physique et tactique.
Pour les enfants, cela leur permet de voir une autre facette du monde du sport. Le hockey sur gazon véhicule une bonne mentalité sportive construite autour de l’esprit d’équipe, la solidarité et la courtoisie envers les adversaires. On sent vraiment du respect sur les terrains de hockey.
Que peut-on te souhaiter pour cette année ?
Tout simplement de réussir ma première année en tant qu’éducateur et entraîneur. Vivre une belle saison avec mon groupe de Carquefou. La cerise sur le gâteau serait d’emmener la sélection U12, pour laquelle j’accompagne Paul LE BESCOND au bout du championnat de France que nous disputerons cette année avec une belle génération.
La Zone 3 est composée des 2 ligues suivantes :
Cette zone a pour objectif de gérer certains championnats de France.
L’ensemble des textes règlementaires est édité par la Fédération Française de Hockey. Les zones sont chargées d’appliquer ces textes.
Un cahier des charges a pour but de définir les conditions de délégation de la gestion de certains championnats de France à des Ligues régionales regroupées en ZONES.
Feuilles de match papier Gazon Zone 3
Feuille de Match Zone 2020-2021Nom du fichier : feuille-de-match-zone-2020-2021.pdf (91 KB)
Feuilles de match papier Gazon Ligue
Feuille de Match LPLHNom du fichier : feuille-de-match-lplh.pdf (92 KB)
Maison des Sports
7 rue Pierre de Coubertin
49130 LES PONTS DE CE
Tél : 02 41 79 49 69
Portable 06.25.45.72.42
ligue.pdl.hockey@gmail.com
lundi, mardi et jeudi
de 8 h à 13 h
et de 13 h 45 à 16 h 45